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Intro
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Le vent souffle tranquillement, sur nos nouveaux gréements, pas un chat, ni un oiseau, nous sommes roi, de l'océan.
Alors Creuse ! Creuse dépêche-toi ! Pendant que ces andouilles sont loin !
Creuse ! Creuse et grouille-toi ! Faut qu'on leur fauche, tout leur butin !
Quand soudain, perturbant notre sieste, un vaisseau au loin venant ici, brandissant pavillon pirate ennemi, nous insultant de : Lopette !! Quoi ? C’est inacceptable !
Mais c'que cette bande, d'abruti, ne sais pas encore, c'est qu'hier, après midi, on a fauché, tout leur trésor !
Leurs sourires, et leurs grands airs, cessèrent d'un coup d'éclair, leur joie devint colère ! Et nous, nous partîmes, fort fier !
Alors Creuse ! Creuse dépêche-toi ! Pendant que ces andouilles sont loin !
Creuse ! Creuse et grouille-toi ! Faut qu'on leur fauche, tout leur butin !
La morale de cette histoire de butins volés et de pirates fauchés !
C’est que si un jour tu cause trop au bar c'est ton trésor qui fini par se barrer !
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Frères Ennemis
04:20
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Majestueux, glissant sur l'eau, notre vaisseau avance fièrement, derrière nous souffle le vent, inlassable course de bateau
Dix jours de poursuite épique à travers écueils et criques, les frères ennemis remettent ça, éternelle querelle de territoire !
Frères ennemis ! Se battant jour et nuit pour un territoire ou une fille
Frères ennemis ! Se chamaillant tout le temps par beau,= ou mauvais temps
Mais voilà le dénouement, les équipages se fatiguant voient les navires se rapprochant, l'excitation se ressent !
Frères ennemis ! Se battant jour et nuit pour un territoire ou une fille
Frères ennemis ! Se chamaillant tout le temps par beau ou mauvais temps
Mais le destin est mesquin car la Royale Navy arrivant, les vigies activent les freins de la poursuite des forbans s'en suit codes et avertissements pour s'allier ensemble contre le poursuivant, Man O' War rosbeef se fait menaçant, pour les frères ennemis voici le temps d'une camaraderie bien qu'éphémère
Voici le temps ou la stupidité laisse la place au courage pour déborder et ainsi saboter les plans de la Navy ennemie de tous les temps !
Frères ennemis ! Se battant jour et nuit pour un territoire ou une fille
Frères ennemis ! Se chamaillant tout le temps par beau ou mauvais temps
Frères ennemis ! Frères ennemis ! Frères ennemis ! Frères ennemis !
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4. |
Le Trophée du Squale
03:37
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Une voile, deux voiles, une armada, deux armadas, s'avançant ici-bas pour le trophée du squale, les équipages sont tous parés le départ est bientôt donné
OUAHA ! Nous sommes invincibles, l'arrivée est notre cible
Les autres tirent la toile et leurs mouchoirs mais peine perdue c'est déjà trop tard !
Le pavillon s'abaissant soudain, les navires prennent vite le vent c'est sans compter not' bâtiment, qui toutes voiles sorties et au grand damne de nos ennemis, dès le début du trophée notre victoire était signée
OUAHA ! Nous sommes invincibles, l'arrivée est notre cible
Les autres tirent la toile et leurs mouchoirs mais peine perdue c'est déjà trop tard !
Aha ! Bande de truffes ! Essayez de nous rattraper !
Aha ! A nous l'trophée ! On vous a encore poutré !
OUAHA ! Nous sommes invincibles, l'arrivée est notre cible
Les autres tirent la toile et leurs mouchoirs mais peine perdue c'est déjà trop tard !
OUAHA ! Nous sommes invincibles, l'arrivée est notre cible
Les autres tirent la toile et leurs mouchoirs mais peine perdue c'est déjà trop tard !
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5. |
Défense de Gerber
04:16
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Oyez moi compagnons, oyez moi cette chansons racontant l'histoire de ce fabuleux équipage
Qui un soir, après trop d'baise et d'boissons dû combattre l'armée royale au canon et au sabre
Bats-toi ! Lève-toi ! Bats-toi ! Lève-toi !
Pour ta terre ! Et tous nos frères !
Et c'est donc par une nuit étoilée que les troupes de la Royale Navy ont essayée de débarquer,
Mais à l'arrivée de l'armée leur progression fut stoppée par les pirates furax et bien torchés
Bats-toi ! Vomi pas ! Bats-toi ! Vomi pas !
Crève-les d'abord ! Ensuite, vomi dehors !
Recharge ! Et sabre ! En joue !
Bats-toi ! Lève-toi ! Bats-toi ! Vomi pas !
Pour ta terre ! Et tous nos frères !
Crève-les d'abord ! Ensuite, vomi dehors !
Recharge ! Et sabre ! En joue ! Et feu !
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6. |
Echiquier Mortel
05:41
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L'œil sombre, le geste grave, visages crispés, le cœur serré, ils attendent dans leurs coques de noix le signal pour attaquer
Patience les enfants notre heure arrive ! AHOY ! AHOY !
Patience mes frères voici la nouvelle ère ! AHOY ! AHOY !
La voici donc notre flotte magnifique, puissants navires ou petits bâtiments, tous naviguant même pavillon flottant sillonnant les côtes d'Afrique, la bataille sera tenue ce jour d'hui, flotte contre flotte, échiquier mortel, l'un d'entre nous périra donc aujourd’hui, l'un d'entre nous ne verra plus sa belle
Patience les enfants notre heure arrive ! AHOY ! AHOY !
Patience mes frères voici la nouvelle ère ! AHOY ! AHOY !
La voici donc ta flotte ridicule, vieux bâtiments et même pas un vaisseau de ligne, c'est une blague d'aligner ces pustules, hors de mon chemin hommes indignes, face à mes canons ton bois éclatera, face à mes hommes ton sang coulera, ton journal de bord s'arrête ici, avance tes pions et commençons la partie !
Une fois la fumée dispersée, sur les coques embrasées point de survivants, comme prévu il a été terrassé par notre flotte à jamais puissante !
Patience mes frères voici la nouvelle ère ! AHOY ! AHOY !
Battez-vous ardemment coulez les rapidement ! AHOY ! AHOY !
Pensez au butin et ça qu'importe le vent ! AHOY!AHOY !
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7. |
Longue Vue
04:37
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C'était hier vous-dis-je
Sur le pont supérieur au soir
Qu’ayant mis fin à un litige
Ils se sont alors mis à boire
Après trois/quatre boutanches
Les gars n'étaient plus étanches
Mais un bougre braya alors
Dans un dernier relent à demi-mort
Bien loin d'ici, sur l'océan infini,
Où diable est-il, sur quelle île ?
Bien loin d'ici, sur l'océan infini,
Trésor perdu, risque inconnu
Bien qu'étant dans mes quartiers
J’entendis l'autre porc gueuler
À propos d'un artefact perdu
Que seul un vieux avait déjà vu
Après réflexion je compris enfin
De quel ermite parlait mon marin
Bien loin d'ici, sur l'océan infini,
Où diable est-il, sur quelle île ?
Bien loin d'ici, sur l'océan infini,
Cap sur le vieux, dépuçons le
Vieille carne ! Fils de rien ! Donne-moi ta carte !
Rat de cale ! PARLE ! Ou c'est mon sabre, dans ta face !
Une fois le vieux bien secoué
Et la carte appréhendée
Nous partîmes vent arrière
Et quand nous arrivâmes, pauvre hère
L’artefact, n'y était plus
Et une embuscade, nous fut tendue
Par des chiens de corsaires, qui osèrent me défier,
Ils se frottèrent, à mes frères
Et par le sang, l'ont payé
Nous continuâmes, sur la lancée
Et leur bâtiment, mis hors d'état
Ne pouvait plus, opérer
Tout près d'ici, notre aventure se fini,
Où diable est-il, sur cette île ?
Tout près d'ici, l'ennemi est abattu,
Reste à trouver, la longue-vue
Une fois les corsaires vaincus, monsieur, pendant la fouille vous dis-je
Elle était là, toute brillante dans son coffre d'argent. J’ai décidé, de m'en emparer, de regarder pour être fixé....
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8. |
Barbe Douce
03:51
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Connaissez-vous cet étrange personnage, qui à une vache près a mon âge ? Le pirate le plus désespérant de toute la piraterie, et même de tous les temps.
Qui voilà ? Barbe douce !
Le pirate fragile des sept mers !
Qui aborde la ? Barbe douce !
Tenant toujours son sabre à l'envers !
Nul n'a jamais su comment ce nul avait pu passer capitaine, tout ce que l'on sait, c’est qu'cet imbécile réussi à aborder et gagne quand même sa vie bien qu'il ne soit pas doué
Mais le pire dans c'te pauvre histoire c'est que ce froussard continue de naviguer mais il doit toujours lutter pour garder plus d'deux semaines son équipage entier.
En plus d'être doué ni pour aborder, ni pour naviguer, ni pour diriger, cet idiot est pourri depuis l'enfance, par milles maladies dégueu', et ça c'est pas d'chance.
Qui voilà ? Barbe douce !
Le pirate fragile des sept mers !
Qui aborde la ? Barbe douce !
Tenant toujours son putain d’sabre à l'envers !
Barbe douce, mais qu’est-ce que tu fous ?!
Sors de ton trou ! Lâche donc ta mousse !
Barbe douce, quel pirate d'eau douce !
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9. |
Le Spectre de Bois Noir
04:38
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Sortant de la brume sombre voici le spectre de bois noir, sur son pont s'agitent les ombres des fantômes changeant de quart, la voilure tient bien le vent alors qu'la toile est déchiquetée, c'est l'équipage des revenants les pirates morts reviennent se venger
Les trappes s'ouvrent, les gueules de fonte sortant pour mettre le feu aux poudres et cracher leur boulets terrifiants, la mort aborde le sabre à la main, c'est le jour des comptes nul lendemain !
Le branle-bas est proclamé, l'équipage s'agite pour armer notre vaisseau et répliquer aux tirs réguliers et acharnés, détruisant et balayant le pont, semant la mort parmi nos rangs, faisant voler nos canons, les nôtres sont chargés maintenant ont leur répond !
La bordée des morts approche
Les trappes s'ouvrent, les gueules de fonte sortant pour mettre le feu aux poudres et cracher leur boulets terrifiants, la mort aborde le sabre à la main, c'est le jour des comptes nul lendemain !
Repartant vers la brume sombre, s'en va le spectre de bois noir, sur son pont disparaissent les ombres des pirates s'étant vengés ce soir
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10. |
In Extremis
06:58
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Vous ai-je déjà raconté la fois où je me fis capturer par les anglais mais que ma flotte fut venue me délivrer moi, mes hommes, et mon navire, In Extremis...
C’était par une froide soirée d'été, nous étions venus ravitailler mais au port même maquillé, le Mormieben fut démasqué, dame malchance était venue nous trouver .
Monsieur GP et le doc ont bien tenté de venir nous sauver mais à deux ce fut compliqué et les deux bougres finirent en geôle avec nous, condamnés eux aussi à la corde au cou.
Le lendemain, sur la potence ou l'infâme bourreau nous attendait nous fument forcés de traverser la foule décérébrée se disant pourtant fort civilisée, mais ce que nous vîmes ce n'était que des chiens. Des chiens sous la botte royale nous aboyant dessus, sans réfléchir, car ils en avaient reçu l'ordre, sans réfléchir, car leur seule distraction c'est la corde.
Il nous passa alors chacun notre tour, ce fichu boute donnant la mort mais quand fut venu le moment, un bruit sourd au loin se fit entendre, puis un boulet, puis deux, puis arriva la déferlante
De nombreux navires arborant l'pavillon de la flotte où s'y étant alliés débarquant et refroidissant tous ceux qui tentaient d'enrayer ce raz d'marée de pirates déchaînés, HARDI LES GARS ! CRAMEZ-MOI TOUS CES CLEBARDS ! OU SONT MES PISTOLETS ET MON SABRE ! Purifiez-moi ce port empesté par l'odeur de sa royale majesté !
Et c'est donc en rasant la ville, que l'armada de l'ouest vint sauver, de justesse certes et avec brutalité les officiers de bord du Mormieben
Tout larguer, se parer, canonner, à tout va,
La ville en flamme après l'assaut pirate sanglant
Une fois au large, la flotte en formation, le Mormieben à sa tête se dirigea donc pénard vers la rédemption, celle de la fête, prenant vent arrière, toutes voiles dehors, direction Gerber pour régler notre sort.
Il y a bien deux frégates royales qui tentèrent la course, mais face à tant de bâtiments armés jusqu’aux dents, ils brassèrent en fuite sans demander leur reste échappant au torrent de boulets In Extremis également
Vous pensiez vraiment pouvoir capturer Ganaz et sa bordée, sans payer la note salée pour avoir commis l'affront de nous pendre publiquement. Regardez à présent, regardez maintenant, lequel des deux est par le fond ou en cendres. Voyez aujourd'hui, comment vous avez l'air malin et qu'on vous y reprenne plus, sales putains !
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11. |
La Légende du Mormieben
14:37
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